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Pise

 

Pise, ville natale de Galilée, et bien sûr ville de la célèbre tour penchée, que l'on retrouvera bien sûr sur de nombreuses photos de cette rubrique.

Cela dit, il serait dommage de se limiter à la tour : Pise est une petite ville étudiante très agréable, où paraît-il il fait bon vivre... Même l'été, car ici comme ailleurs, dès que l'on s'écarte des zones touristiques, les rues sont très calmes, voire carrément désertes.

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Très difficile de photographier la tour. Il suffit de lever l'appareil photo dans le dessein de la cadrer en entier pour que... elle se redresse, ou tout au moins donne l'impression de le faire.

C'est le problème bien connu des photos d'architecture : le fait de lever l'appareil fausse les perspectives et peut par exemple donner l'impression que deux bârtiments de part et d'autre d'une rue sont penchés l'un vers l'autre.

Avec la tour c'est l'effet inverse qui peut se produire, d'où la nécessité de toujours la photographier avec un repère donnant la verticale et/ou l'horizontale : l'horizon comme ci-dessus, ou bien un autre bâtiment, comme ci-contre.

Là, on la voit à côté du Duomo...

Ici, depuis les jardins du Museo dell'Opera del Duomo.

Toujours depuis le Museo dell'Opera del Duomo.

Le jeu favori des touristes consiste à se faire photographier en faisant croire qu'ils soutiennent la tour. Si on n'a pas compris ce qu'il font, on se demande...

Vu de l'autre côté, ça fait un peu surréaliste, non ?

Il n'y a que du haut de la tour que l'on ne se rend pas compte qu'elle est penchée..

Et quand il fait chaud, comme c'était le cas ce jour-là, son ombre est très recherchée

Le Duomo (la cathédrale), vu depuis le Battistero (le baptistère)

Le Duomo de l'intérieur, avec le célèbre lustre de Galilée

Il paraît que c'est ici qu'il découvrit, en chronométrant à l'aide de son pouls les oscillations du lustre, la loi régissant la période d'oscillation d'un pendule, à savoir

Quoi, vous ne la connaissiez pas ?

Face au Duomo, le Battistero.

Apparemment, on baptisait tellement qu'il fallait un bâtiment à part...

Et l'intérieur du Battistero, depuis la galerie supérieure....

... et en bas.

En ville, la Piazza dei Calvalieri, avec le Palazzo du même nom, décoré de "sgraffites" du 16e siècle, dues à Giorgio Vasari.

C'est pratiquement désert en plein mois d'août. Les touristes viennent à Pise pour voir la tour, et le reste ne les intéresse pas, sauf peut être le Duomo (et encore, parce que le billet y donne aussi accès).

A côté du Battistero, le Museo del Sinopie, où l'on trouve pricipalement... des Sinopie, dessins préparatoires pour la réalisation de fresques.

Lorsque nous y sommes allés, il y avait une expostion de costumes de théâtre ou de cinéma, absolument splendides !

Le ponte di Mezzo, sur l'Arno.

A Pise, comme dans beaucoup de villes de Toscane, la circulation automobile est interdite dans le centre, sauf cas particulier. Et il ne faut pas rigoler avec ça !

Cela dit, vu la taille du centre-ville, ce n'est pas un problème, nous avons très facilement stationné sur une place peu éloignée, à l'ombre, pendant toute la journée.

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