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Impressions aéronautiques

 

Voyage aller-retour par Air-France, c'est quand même plus simple depuis Pau pour les correspondances. En cette saison, les billets pour Montréal sont assez peu onéreux, bien que les promotions vantées à grand frais sur les publicités ne soient pas disponibles au départ de Pau.

Toujours est-il que lorsque l'on réserve sur Internet, entre le moment où un tarif est annoncé et celui où on valide sa réservation après avoir saisi les nombreuses données requises, il arrive que le tarif ne soit plus disponible (à peine cinq minutes plus tard....). Du coup, j'ai pris des billets-prime, éco à l'aller et classe affaires au retour (même coup, les billets éco avaient disparu le temps que je fasse ma réservation, et c'est tout ce qu'il y avait de disponible).

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Hall du terminal 2F à Roissy, en attente de notre départ. La salle d'embarquement est plutôt calme.

Le 747 qui doit nous emmener arrive au point de stationnement.

Et c'est parti : décollage vers l'Est, puis virage à gauche pour un vol de 7 heures environ.

Apéro : champagne ! Ca, ça reste une particularité Air France bien plaisante... Mais pour combien de temps encore ?

Ensuite, un déjeuner finalement assez correct, avec vin assez quelconque, café, et pousse-café : les vacances commencent bien !

Plus vite chauffeeeeur, plus vite chauffeeeeur... ! Ca m'a rappelé le bon temps des voyages en car, lorsque l'on doublait un camion.

Ici, il y a foule sur la route transatlantique, les avions se doublent ! Ceux (celles) d'entre vous qui identifieront le type d'appareil et la compagnie (c'est facile) gagnent un cadeau surprise : écrivez-moi à .

Une seule photo aéronautique prise à Montréal. Qu'est-ce que c'est ?

Mais bien sûr, le siège de l'OACI !

L'heure du retour a sonné ! Attente dans le salon Flying Blue de Montréal , où l'on assiste à l'arrivée de notre 777-300.

On s'installe... Champagne pour tout le monde !

Décollage piste 24 L, au crépuscule...

... puis virage à gauche : on aperçoit le St Laurent, partiellement pris par les glaces

Et on passe à table : en classe affaires, le menu en jette, il faut bien le dire... On se croirait dans un restaurant étoilé !

Las ! lorsque le plateau arrive, c'est nettement moins reluisant... Correct, bien sûr, mais on ne le répètera jamais assez, pas digne d'une compagnie qui se veut la championne de la gastronomie à la française.

A part toutefois le vin qui, lui, reste de grande classe : nous avions le choix (en rouge), entre un excellent Chorey-les-Breaune, et un Chateau Chasse-Spleen 2007, un des tous meilleurs Moulis, absolument remarquable.

Bon, peut-être tout n'est-il pas perdu. Pourvu que ça dure !

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