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Se déplacer dans Tokyo |
| Rien de plus facile que se déplacer
dans Tokyo : métro, train, bus, taxi, et même tram. Certes, il y
a un grand nombre de compagnies, mais toutes jouent le jeu, et les correspondances
sont parfaitement fléchées. En outre, toutes les compagnies utilisent
le même moyen de paiement, avec automates d'entrée et de sortie. Il
existe des systèmes d'abonnement variables, mais pour les touristes, le
moyen le plus pratique, sinon le plus économique, est sans conteste la
carte Suica : il s'agit d'une carte prépayée, que l'on peut recharger
autant qu'on le veut, et qui passe sans contact dans les automates d'entrée
et de sortie : on est débité automatiquement du prix du trajet. La
carte est acceptée dans tous les automates donnant accès aux moyens
de transport de Tokyo et de grande banlieue (peut-être aussi dans les trains
de grandes lignes), et permet de s'affranchir de tout problème. | |
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Cliquez
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arrivant à Tokyo-Narita, il faut se souvenir que l'aéroport est
à plus de 60 km de la ville : le taxi n'est donc pas le meilleur moyen
pour se rendre à Tokyo. Des moyens, Il en existe plein
: trains, etc. Pour notre part, nous avons utilisé le bus "Airport
Limousine", qui assure assez rapidement un transfert entre les aéroports
et les quartiers hoteliers (dont bien sûr Ikebukuro, celui où nous
étions logés). Bus rapides et confortables,
climatisés, avec connexion wi-fi, etc. Très
facile d'utilisation car le comptoir est au centre du hall des arrivées,
et le départ des bus juste devant l'aérogare. | |
| Le
métro fonctionne extrêmement bien : propre, clair, impeccablement
fléché (bilingue). Le réseau est assez dense, pourtant
vu la taille de la ville, certains quartiers sont un peu difficiles d'accès. Le
plan du métro est assez clair, et comprend toutes les lignes (des différentes
compagnies), ainsi que les trains. |
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Les usagers, très disciplinés, attendent sagement en rang devant
les marques indiquant l'emplacement des portes. Faut-il préciser
que je n'ai vu personne tenter de gruger... |
une seule petite difficulté, surprenante
au début : les correspondances se font parfois par la rue : on peut être
un peu surpris de se retrouver sur le trottoir lorsque l'on recherche une correspondance,
mais bon, quand on le sait... Cependant, le fléchage continue très
clairement dans la rue : ici, une correspondance à la station Hongô-Sanchôme. | |
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Lorsque le métro ne convient pas, il y a pas mal de trains
utilisables en ville , comme ici la ligne Yamanote (en gris et blanc sur le
plan) qui fait une boucle circulaire dans la ville, et propose très
souvent une alternative rapide par rapport au métro. |
Il rest également une ligne de
tram, la ligne Arakawa, qui présente la caractéristique de traverser
des vieux quartiers traditionnels : un excellent moyen de découvrir le
"vieux" Tokyo | |
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Nous n'avons jamais eu besoin de prendre un taxi, mais il y en
a beaucoup dans la ville, propres et de couleurs vives, qui semblent impeccables
: chauffeurs cravatés, voitures climatisées et aux dossiers de siège
couverts de dentelle. Cela dit, les chauffeurs ne parlant paraît-il
que très rarement anglais, il est sans doute préférable de
se munir de son adresse de destination écrite en japonais sur une carte
ou un papier. |
Et puis pour ceux qui voudraient tenter la conduite, sachez que le carburant
semble plutôt moins cher que chez nous |
| | Le
tricycle est le véhicule favori des livreurs : il s'agit de tricycles articulés
qui s'inclinent dans les virages. Ca doit être plutôt marrant |
Enfin, si l'on veut
s'éloigner de Tokyo (ce que pour notre part nous n'avons pas fait), n'oublions
pas que le Japon dispose d'un excellent réseau ferré, avec notamment
les trains rapides Shinkansen | 
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