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Se loger |
| Plein de façons de se
loger à Tolyo, de la plus luxueuse à la plus modeste, de la plus
traditionnelle à la plus moderne. Pour notre part, nous n'avons pas cherché
l'originalité, et nous avons tout simplement choisi l'hôtel proposé
par l'agence parisienne. Bon, nous aurions préféré
sans doute un Ryokan (hébergement traditionnel, avec nattes, futons, etc.),
car même si on les trouve plutôt en province, il y en a à Tokyo
aussi. Ce sera pour notre prochain voyage ! | |
Cliquez
sur les images pour les agrandir | Notre
hôtel était donc le Toyoko-inn Ikebukuro Kita-guchi n°1, dans
le quartier d'Ikebukuro. Il s'agit d'un "business hotel", en clair
un hôtel de catégorie moyenne fréquenté par les gens
qui ne veulent pas dépenser trop, voyageurs d'affaires ou clientèle
privée |
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| L'hôtel
comporte une douzaine d'étages, et l'entrée a plutôt bon aspect,
quoique sans luxe. |
Vu de haut (ici depuis la tour du complexe "Sunshine
City), l'hôtel apparait comme une petite tour perdue au milieu des immeubles
serrés. On le distingue tout de même vers le milieu de la photo.
Il y a un autre hôtel de la même chaîne (le Ikebukuro Kita-guchi
n°2) à un bloc de là, visible en haut à gauche. |
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La chambre, très nette, avec un excellent lit, comprtait tous les éléments
de confort que l'on peut attendre, et même plus : Connexion internet,
frigo, télévision, coffre, bouilloire et thé, petits chaussons
et chemises de nuit changées tous les jours... |
Bref, pour un hôtel moyen, vraiment
rien à dire, surtout avec un tarif de l'ordre de 9000 yen par nuit (moins
de 70 €), petit déjeuner inclus (de style local, le petit
déjeuner...:o) Certaines chambres étaient parait-il
de style japonais, mais nous ne l'avons su qu'à la fin du séjour. | |
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Si on avait souhaité rester peu de temps, goûter aux usages locaux,
et dépenser moins, on aurait pu choisir un hôtel-capsule, une institution
locale. Il s'agit de minuscules chambres, en fait des placards où
on ne tient qu'à genoux, mais parfaitement équipés et où
on peut passer une nuit pour pas cher. |
Nous n'avons malheureusement pas vu l'intérieur,
mais les tarifs sont intéressants, et on peut même si on veut juste
se reposer dans la journée n'y passer que quelques heures. Le cas
est prévu... | |
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En revanche, pour passer quelques heures en bonne compagnie, on
préférera un "love hôtel", tout de même plus
classieux. Contrairement à ce que le nom peut laisser
croire, il ne s'agit pas d'hôtels de passe (quoique on peut imaginer que
les professionnelles les utilisent aussi), mais d'hôtels où les couples
illégitimes ou non peuvent partager quelques instants d'intimité.
Compte tenu de l'exiguïté des logements, c'est quelquefois le seul
moyen dont ils disposent. Certains ont une architecture originale,
celui-ci voulait avoir un style "Renaissance italienne"... |
Toujours est-il
que les tarifs sont toujours clairement affichés, selon la catégorie
de la chambre et la durée précise du séjour. Mais, là,
vu ma connaisance du japonais, j'avoue que les subtilités de la tarification
m'échappent un peu En tout cas, les radins ou les rapides pourront
limiter la dépense au plus juste :o) Manque de curiosité ou
d'audace... nous n'avons pas essayé... On vieillit ! | |
| Et
puis pour ceux qui veulent rester plus longtemps (enfin, nettement plus !), pas
de problème pour se loger à Tokyo, à deux conditions : ne
pas avoir besoin de trop de place, et avoir les moyens ! On trouve des
appartements, mais très petits et très chers, paraît-il :
Je veux bien, mais 140 000 yens par mois (1000 €), pour près de 40
m2, c'est certes un peu plus cher qu'à Paris, mais vu ce qu'on entend (la
ville la plus chère du monde!), je m'attendais à pire. |
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