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L'île de Procida

 

Aller à Naples sans voir les îles, ce n'est pas possible ! Mais laquelle ? Capri ? C'est la plus lointaine et la plus touristique.... Ischia ? réputée, mais assez grande, et difficile à visiter à pied, surtout en peu de temps et surtout avec la chaleur ambiante, en été.

Restait Procida, la plus petite, la plus proche, et parait-il la plus préservée des îles de la baie. Elle a servi de décor à baucoup de films, dont Il Postino, un film de Michael Radford qui évoque l'exil de Pablo Neruda en Italie (avec Philippe Noiret dans le rôle de Pablo Neruda)... Mais en cherchant un peu, on s'aperçoit que beaucoup d'endroits revendiquent la même chose, notamment l'île de Salina, une des îles Eoliennes, où se trouve réellement la maison du film... Sans doute quelques scènes ont-elles été tournées à Procida.

Du coup, j'ai voulu chercher où le vrai Pablo Neruda a passé un an... Et je n'ai pas trouvé ! Peut-être à Capri...

 

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Pour y aller, on prend le bateau depuis Naples. On a le choix entre la bateau lent ou le bateau rapide, qui met 30 minutes au lieu d'une heure, et est nettement plus cher.

Disons-le clairement, pour les touristes le bateau rapide n'est pas une bonne idée : gagner 30 minutes est sans grande importance, et surtout on est enfermé dans une cabine genre avion.

Et même si on est près de la fenêtre, celle-ci est tellement couverte de sel qu'elle est opaque ! Donc pour voir le paysage, pas question... Ce qui est dommage !

 

La baie de Naples, et le trajet vers Procida, et ci-contre le billet aller-retour.

On aurait pu aussi partir de Pouzzoles, mais on ne s'en est aperçus que plus tard.

Arrivée à Procida : de jolies maisons colorées le long du port. Quelques véhicules stationnés, mais en fait très peu de circulation, à part des camionnettes, des taxis (pour les touristes pressés, chargés, ou fatigués) et des scooters...

...dont les jeunes conducteurs semblent avoir une attirance pour le suicide très affirmée, si on en juge par la manière dont ils dévalent les rues pavées en pente. Et s'il pleut, ce doit être encore plus sportif !

Le temps de sortir l'appareil photo, il était déjà passé !

Des rues en forte pente, sans trottoirs, et dont les maisons en hauteur disposent d'escaliers d'accès donnant directement dans la rue.

Mais lorsque l'on monte ces rues jusqu'au point culminant de l'île, on est récompensé par une vue splendide.

Il y a trois marinas (baies) à Procida. Il s'agit ici de la Marina Corricella, qui n'est pas le point d'accostage des ferries et des bateaux rapides.

En redescendant vers le port, on emprunte des rues avec quelques boutiques à touristes, mais sans excès.

Pour le retour, nous avons donc pris le bateau lent, un ferry transportant également des véhicules, que l'on voit ici arriver dans le tout petit port de Procida... La manoeuvre d'accostage était assez délicate, mais réalisée impeccablement !

Beaucoup plus agréable qu'à l'aller, car on peut faire le trajet sur le pont et admirer la baie de Naples, le Vésuve...

Ca prend une bonne heure, mais qu'importe !

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