Un troupeau de lamas au bord de la route

Là, ce sont des alpacas (chez nous, on dit Alpaga, mais ce sont bien les mêmes bêtes)

Un guanaco : les moins connus peut-être des ruminants de l'altiplano. Ici, près des geysers de Tatio.

Nous en avons vu beaucoup le jour, et retrospectivement, nous avons pensé aux deux heures de piste en pleine nuit, où nous n'étions pas très vigilants à d'éventuelles traversées d'animaux. Enfin, peut-être ces bêtes ne sont-elles pas nocturnes...

Et si on ne fait pas attention, on peut confondre les vigognes et les guanacos (là ce sont bien des vigognes).

Les vigognes sont un peu plus petites et plus fines que les guanacos, et la couleur du pelage n'est pas exactement la même.

Moins exotique, mais étonnant : deux ânes au bord de la piste, en plein désert, du côté du salar de Atacama.

Que font-ils là ? Mystère...

Chevaux à l'île de Pâques.

Ce n'est pas à l'origine une tradition polynésienne, mais elle a été adoptée par les habitants de l'île : vu la taille et la topographie de celle-ci, ça constitue un moyen de promenade quasiment idéal.

Si vous avez des compétences équestres, pensez absolument si vous allez un jour sur l'île à la visiter de cette manière.

Un foulque dans un lac de montagne, le lac Chungará (gelé en surface)

Flamants roses au Salar de Atacama....

Qui quelquefois s'envolent, pour le plus grand bonheur des touristes présents se sentant une âme de chasseurs (d'images bien sûr)

Rapaces à l'île de Pâques.

Des espèces de buses, je ne sais pas exactement quoi, apparemment les seuls prédateurs de l'île pour les petits rongeurs.

Il semble que ces rapaces aient été introduits volontairement sur l'île, précisément pour lutter contre la prolifération des rats des champs (surtout que dans le passé, les gens les mangeaient, mais ce n'est plus le cas à présent)