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Vu l'étendue du pays, les différences d'altitude,
et les variations climatiques, la flore est d'une extrême diversité.
Quelques images des curiosités aperçues pendant notre séjour,
ou simplement de jolies choses. J'ai trouvé aussi
une source très intéressante : une flore interactive du Chili, bien
faite mais apparemment pas très complète : http://www.florachilena.cl cliquez
sur les images pour les agrandir Le
fameux Cactus candélabre (Browningia Candelaris).
Son habitat est très spécifique (ici dans le nord, près de
Putre) : manifestement, il s'accomode bien de la sécheresse ! | | | | | Un
autre cactus, probablement un Eulychnia, mais lequel ? (Eulychnia Breviflora,
Eulychnia Iquiquensis...) ? | Un
acacia dans le désert d'Atacama : ce sont à peu près les
seuls arbres que l'on peut trouver | | | | | Avec
quelques buissons : ici, je pense que c'est un tamarugo (Prosopis Tamarugo) | En
revanche, pour ces espèces de petites plantes grasses à fleurs rouges,
qui poussent sur le remblai au bord de la route, je sèche complètement. | | | | | Ca,
en revanche, c'est très amusant et très curieux : des sortes de
coussins verts. On croit que ce sont des mousses, mais pas du tout : il
s'agit de la Llareta, ou Yareta (Azorella Compacta), une ombellifère
(eh oui!) très commune dans tout le Nord. | Ca,
il me semble bien que ce sont des sortes de prêles, mais alors grandes !
près de 3 mètres de haut ! A moins que ce ne soit ce qu'on
appelle le bambou du Chili | | | | | Des
bougainvillées dans la jardin de notre hôtel d'Arica. Classique,
mais assez joli ! | Ici,
une espèce d'araucaria dans les jardins du musée de Santa Cruz | | | | | Une
plante grasse avec des feuilles à piquants, surmontée de jolies
fleurs rouges : un aloès, semble-t-il | | | | | | Un
papayer dans le jardin de l'hôtel Otai à l'île de Pâques | A
l'île de Pâques, plein de ces plantes : on se demandait ce que c'était,
mais il a suffi d'ouvrir un fruit pour avoir la réponse : des goyaves.
Ca semble pousser spontanément partout sur l'île. | | | | | Toujours
à l'île de Pâques. Je pensais à des ramboutans pas encore
mûrs, pas du tout. C'est en fait du ricin. Merci à Nicolas
qui m'a remis dans le droit chemin. | Ces
gousses, très communes également sur l'île de Pâques,
nous n'avons pas réussi à déterminer ce que c'était.
La littérature parle de Sophora, plante originaire de l'île,
qui aurait disparu puis aurait été réintroduite récemment.
Les quelques images que j'ai pu trouver montraient des feuilles différentes,
mais c'est peut-être une espèce voisine. | | | | | Une
erythrine, ici appelée "arbre aux baleines". Il y en a pas mal
à l'ïle de Pâques. |
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