La Cap-Vert, ce sont des îles,
la mer est donc très présente. Comme j'ai
toujours eu une attirance pour la mer et les bateaux,
je ne me suis pas contenté d'impressions aéronautiques
cette année.
Quelques images, notamment de la traversée
en ferry pour rejoindre Santo Antão.
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pour les agrandir
Embarquement sur le ferry Mar
d'Canal de la compagnie ARMAS, qui
fait la navette deux fois par jour entre Mindelo
(São Vicente) et Porto Novo (Santo Antão)
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Cet ancien ferry norvégien construit en
1970 a pas mal changé de propriétaire
et de nom avant d'arriver ici : initialement baptisé
Ryflyke, il a été acheté
par la compagnie ARMAS il y a environ 15 ans.
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Néanmoins, il semble très
correctement entretenu et exploité, et
assure à un train de sénateur
(11 noeuds mesurées au GPS :-) la liaison
entre les deux îles.
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Une quinzaine de kilomètres
de traversée : une petite heure, sans histoire.
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A l'arrivée, la manoeuvre
d'accostage.
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Et quatre jours plus tard, on repart
de Porto Novo pour Mindelo, par le même
ferry.
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Un truc un peu flippant dans le port de Mindelo
: la présence de plusieurs épaves,
dont apparemment personne ne se soucie... Ou
dont personne ne veut payer le renflouement
ou la destruction..
Honnêtement, ça fait un peu désordre !
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Une autre épave, dont je
me suis un peu intéressé à
l'histoire : le Leopard,
un remorqueur de haute mer russe.
Il se serait échoué
ici fin 2011... Et les tentatives pour le dégager
n'ayant apparemment pas abouti, il a été
abandonné là par ses propriétaires.
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Dans un autre genre, plus modeste, le petit
port de pêche de Ponta do Sol.
Les barques de pêcheurs, très
colorés comme partout au Cap-Vert, sont
tirées au sec sur la plage...
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.. et mises à l'eau pour
partir à la pêche.
Certains bateaux disposent d'un
moteur...
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...mais d'autres avancent à l'aviron.
Pas une mince affaire pour sortir du port !
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Dès que l'on n'est plus
à l'abri de la jetée, ça
remue !
Et encore, lorsque j'ai fait la
photo, le temps était plutôt beau.
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Lorsque les pêcheurs rentrent, ils préparent
et vendent le poisson tout de suite au port.
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Les barques de pêcheurs sont
construites localement : ici un chantier dans
le village de Sinagoga.
Installations rustiques, mais construction
apparemment de qualité ! J'en aurais
bien acheté un, mais je n'avais plus de
place dans ma valise.
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