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Nous avons passé une journée
et demi à Porto, ça a été
le seul moment de notre séjour où le temps
a été médiocre : plafond bas, bruine,
vent, froid....
Du coup, les photos ont un caractère
un peu mélancolique. Pourquoi pas, après
tout, on est au pays du fado... bien que le fado soit
plutôt originaire de Lisbonne ou de Coimbra.
cliquez sur les images
pour les agrandir
Porto vu depuis Vila Nova de
Gaia, sur la rive gauche du Douro
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Le "Ponte Luíz I",
construit par l'ingénieur Théophile
Seyrig, disciple de Gustave Eiffel.
La tablier supérieur sert
au métro, le tablier inférieur
est consacré à la circulation
routière, avec une seule voie dans chaque
sens, et des trottoirs étroits... Encombrements
assurés !
Vu ici depuis Vila Nova de Gaia.
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Sur le Douro, de nombreux bateaux pour touristes
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Porto est bâtie sur une pente,
sur la rive droite (nord) du Douro.
Comme dans beaucoup de villes du
Portugal, les dénivellations sont souvent
assez fortes.
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Une vue générale de la ville,
au loin à droite, la "Torre dos
Clérigos"
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Porto, vue cette fois depuis la
"Torre dos Clérigos". Pluie et
vent ce jour-là...
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Un endroit étonnant à Porto :
la librairie
Lello et Irmão.
Une authentique librairie , fondée en
1869. Elle ne vaut pas tant par ce qu'on y trouve
(des livres, ce qui est certes intéressant
, mais pas extraordinaire...) que par son architecture,
et notamment son plafond transparent, ses rayonnages
ouvragés, et un étonnant escalier
intérieur, en bois avec double révolution
en 8... visible ci-dessous.
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Comme énormément
de touristes veulement la visiter, les entrées
sont limitées: on achète donc un
ticket puis on fait la queue et on entre petit-à-petit,
en fonction des sorties... Mais lorsque l'on regarde
de plus près le ticket, on s'aperçoit
qu'il s'agit en fait d'un bon d'achat.
On l'a dépensé....
pour acheter un dictionnaire Portugais-Français
, bien sûr !
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La gare de São Bento à Porto.
Ce n'est pas la plus importante gare de la ville.
Elle est destinée au trafic régional.
Les grandes lignes partent plutôt de la
gare de Campanhã, située à
la périphérie.
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Dans la salle des pas perdus, de
très nombreux azulejos.
Ils sont si fameux que les touristes
viennent à la gare spécialement
pour les voir.
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Le clou est la frise d'azulejos courant sur
tout le pourtour de la salle, dans la partie
haute des murs, et qui représente l'évolution
des moyens de transport au fil des siècles.
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Une petite rue de Porto : certains
immeubles qui ont eu leur heure de gloire sont
aujourd'hui bien abîmés.
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D'autres présentent en revanche de jolies
couleurs...
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... ou sont couverts d'azulejos.
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Une rue de Porto assez typique : rue pavée
en pente, trottoirs étroits, et sur les
immeubles, des balcons métalliques.
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