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Peu à dire sur le voyage : contrairement
à l'an
passé où nous avions beaucoup
circulé en avion, le voyage aérien s'est
cette année limité à l'aller-retour
Pau-San Francisco.
Pour ne pas déroger à
mes habitudes, j'ai néanmoins réalisé
mon habituelle rubrique, afin de décerner mes
habituels satisfecits et mes non moins habituels reproches.
cliquez sur les images
pour les agrandir
Départ de Pau le matin
: certes, je suis un habitué de la ligne,
et mes départs du mardi matin ne sont
pas une corvée, mais cette fois-ci le
départ était plus plaisant que
d'habitude.
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Surtout qu'arrivés à
Roissy, pour patienter jusqu'à notre
départ (3 heures d'attente quand même !),
nous nous sommes rendus au salon Flying Blue.
Et là, comme toujours,
rien à dire : des petites choses délicates
à grignoter, et des grands crus proposés
à volonté.
Ce jour-là, je me suis
limité à un Crozes-Hermitage particulièrement
plaisant !
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Embarquement : le 777-300
nous attend.
On ne le voit pas sur cette photo,
mais cet avion a une longueur particuilèrement
impressionnante : limite disproportionné !
Et la capacité est en rapport, nettement
plus de 400 places.
Et pourtant, ça vole !
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Passons rapidement sur le plateau-repas de la
classe éco, les mots me manquent.
L'année dernière, par charité,
j'avais évité de le commenter. Mais
avec l'âge l'indulgence vient à disparaître.
Donc... J'hésite entre pitoyable et consternant
!
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Cela dit, pourquoi se gêner ?
Malgré un tarif assez élevé
(et pourtant, j'avais pris mes billets 6 mois
à l'avance), l'avion était archi-complet !
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Au retour,
arrivée dans le hall d'enregistrement de
l'aéroport de San Francisco.
Après une tentative (à
tout hasard) de demande de surclassement), aimablement
refusée, nous allons de nouveau attendre
au salon, ici également plutôt correct,
quoiqu'assez petit...
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... D'où l'on peut voir arriver notre
avion : un splendide Airbus 380 cette fois.
Toujours aussi impressionnant !
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Pas mal d'attente avant de décoller !
C'est vrai qu'il y a du trafic à San Francisco,
et que nous devions laisser passer des vols à
l'atterrissage : ici un beau 340 suisse !
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Décollage, avec un curieux
effet de condensation sur l'aile, bien mis en
valeur par les raysons du soleil.
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Encore un pitoyable plateau-repas...
Presque pire qu'à l'aller, le traiteur
californien n'étant pas plus performant
que le parisien.
Cela dit, je ne sais pas combien
Air France paie les traiteurs pour ses plateaux-repas...
Mais je n'ose imaginer le résultat le
jour où ils décideront de serrer
encore un peu plus les prix !
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Arrivée à Roissy... Y'a plus
qu'à prendre la correspondance pour Pau !
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