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Un voyage très aérien, cette
année : compte tenu de la densité du programme
que nous avions construit, ainsi que des distances à
parcourir, nous avons beaucoup pris l'avion : 12 vols,
et 14 décollages/atterrisages (les vols Galápagos-Quito
faisant escale à Guayaquil). Nos pérégrinations
aéronautiques :
1 - Pau-Paris |
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7 - Quito-Guayaquil-San
Cristobal |
2 - Paris-Bogotá |
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8 - Baltra-Guayaquil-Quito |
3 - Bucaramanga-Bogotá
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9 - Cuenca-Guayaquil |
4 - Bogotá-Cartagena |
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10 - Guayaquil-Amsterdam |
5 - Cartagena-Bogotá |
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11 - Amsterdam-Paris |
6 - Bogotá-Quito |
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12 - Paris-Pau |
Voyages dans l'ensemble excellents, les compagnies
locales Avianca, AeroGal, ou TAME n'ayant rien à
envier aux compagnies européennes.
cliquez sur les images
pour les agrandir
Au petit matin, départ
de Pau pour Roissy : le jour se lève...
Ca ne me change pas beaucoup de mes habitudes
hebdomadaires, mais je dois dire que mon état
d'esprit ce jour-là n'était pas
le même que les autres fois :-)
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Arrivée à Roissy,
direction, le salon Flying Blue. Il était
encore tôt, mais notre vol pour Bogotá
étant annoncé avec du retard,
finalement, on s'est retrouvés à
l'heure de l'apéro.
Et là, comme d'habitude,
c'était somptueux : un remarquable Pauillac
: Air France est toujours égal à
sa réputation pour le choix des vins
dans les salons...
Pour le reste...
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Au fait, pourquoi étions-nous
en retard ?
Tout simplmeent à cause
d'un problème de réacteur sur
notre A340... Bon, ne nous plaignons pas : il
vaut mieux prendre le temps de réparer
que de vouloir à tout prix être
ponctuel !
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La bouffe de la classe éco
: pitoyable, comme d'hab !
Enfin, il y a toujours le champagne,
servi dans des verres en plastique (ça,
ça irait encore) et pas frais (ça,
c'est vraiment du gâchis !).
Le vin rouge ? C'est simple : immonde !
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Avec tout ça, nous avons rattrapé
un peu de notre retard, pour une arrivée
à Bogotá sous un ciel gris. Atterrisage
piste 13G, pas de problème.
Bogotá. Un grand aéroport situé
à 2800 m d'altitude, avec manifestement
beaucoup de trafic.
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Après quelques jours de
tourisme passés sur la route, départ
de Bucaramanga pour Cartagena avec une correspondance
à Bogotá (dommage qu'il n'y ait pas eu
de vol direct ce jour-là).
A Bucaramanga, l'aéroport
est sur un plateau, et pour se mettre dans l'ambiance,
on aperçoit une épave en y arrivant
: il s'agit d'un Viscount ayant eu un accident
en décembre 1977.
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En tout cas, on n'a pas jugé utile d'enlever
l'épave. Une sorte de trophée,
peut-être, ou alors on trouve que c'est
décoratif ?
Aujourd'hui, les choses se passent mieux, et
nous embarquons dans notre A320 joliment décoré.
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A Bucaramanga, la piste est courte
(2260 mètres), l'altitude un peu élevée
(1188 m), et le temps d'escale court (40 minutes).
D'où je suppose les ventilateurs
pour refroidir les freins avant de repartir.
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Après un changement à Bogotá,
en route pour Cartagena : ce soir-là,
le chemin n'était pas le plus court.
Quelques orages à éviter, peut-être
?
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De Cartagena, départ quelques
jours plus tard pour Bogotá puis Quito : un A320
quasiment neuf, celui-là, avec winglets,
et tout !
The Jacky touch !
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Quelques jours plus tard, départ pour
les Galápagos : Quito-Guayaquil-San Cristobal
(un des deux aéroports des Galápagos)
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Départ à l'heure,
légère collation dans l'avion...
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...Et peu avant l'atterrissage, pulvérisation
d'insecticide dans les coffres à bagages,
probablement afin d'éviter l'importation
d'insectes étrangers sur les îtes...
Est-ce efficace ?
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En finale piste 19 à San
Cristobal, avec vue sur la baie de Puerto Baquerizo
Moreno, où les bateaux attendent les touristes.
Il ne faisait pas très beau !
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Débarquement sur l'île, avant
le début d'un séjour de 5 jours...
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... à l'issue duquel nous
sommes repartis depuis l'aéroport
Seymour à Baltra, l'autre aéroport
des îles, qui à l'origine était
une base militaire US pendant la guerre.
Ce jour-là, il faisait très
beau, et notre avion nous attendait sur le tarmac.
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Encore un A320 très joli.
Embarquement de tous les passagers
(le vol était archi-complet !),
puis...
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... décollage en piste 14,
avec un fort vent arrière !
Là on est sur le taxiway,
mais on a vraiment décollé dans
ce sens-là... J'avoue que je me suis demandé
si c'était bien raisonnable, mais bon,
le décollage a été impeccable
et le vol sans souci.
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Le dernier trajet aérien sur place :
Cuenca-Guayaquil. A peine 200 km, mais le faire
en avion en fin de journée nous a permis
de gagner un jour.
L'ATR de TAME arrive à Cuenca. Nous
embarquons.
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Décollage piste 09.
A Cuenca, l'aéroport est
en pleine ville, et juste derrière le mur
qui borde la piste, il y a des maisons !
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De même qu'aux deux extrêmités,
comme on peut s'en rendre compte après
le décollage.
Il existe parait-il depuis des années
un projet de construction d'un nouvel aéroport,
mais qui n'avance pas car aucun lieu ne semble
satisfaisant.
Du coup l'aéroport risque de rester
là encore un moment. Cela dit, l'avantage
est qu'on s'y rend depuis le centre ville en
10 minutes en taxi, pour 3 $.
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Guayaquil : notre 777 nous attend
pour le retour vers Amsterdam.
Divine surprise : nous sommes surclassés
en Business Class ! On ne nous a pas dit pourquoi
: surbooking, sans doute... Dans ce cas, vive
le surbooking !
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Du coup , de la place pour les
jambes, et champagne ! Dans des verres cette fois,
mais malheureusement toujours trop chaud.
Quant au dîner, c'est certes
mieux qu'en éco (avec nappes blanches en
tissu et tout !), mais ce n'est toujours pas de
la gastronomie.
Disons que si on avait ça
en classe éco, on dirait "c'est pas
mal !"
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Arrivée à Amsterdam... Pas à
dire, le relief n'est pas le même qu'en
Equateur !
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3 heures d'attente au salon Flying
blue...
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... avant l'embarquement pour Paris, par l'escalier,
la passerelle étant en panne.
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Puis une fois à Paris, après
encore 3 heures d'attente au salon (celui du terminal
2G, qui ne mérite pas vraiment le détour !), c'est l'embarquement pour Pau.
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Bye bye, Paris, on rentre à la maison !
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