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Sur les îles Galápagos,
quasiment désertes, beaucoup de paysages désolés
: il n'y a pas beaucoup d'eau et la végétation
y est peu abondante (tout au moins sur celles que nous
avons vues).
En outre, au mois d'août, s'il
pleut relativement peu, le ciel est en revanche souvent
gris : cette combinaison de ciel gris et de paysage
assez sec donne le plus souvent une impression de désolation
que nous avons ressentie pendant tout le séjour.
cliquez sur les images
pour les agrandir
Quelques plages, cependant, proposent souvent
un superbe sable blanc et fin.
On pourrait avoir envie de s'y baigner, si
l'eau n'était pas si froide : combinaison
obligatoire donc, mais c'est bien moins glamour.
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Nous nous sommes donc contentés
de nous y promener, la plongée tuba ne
permettant généralement pas de
voir grand chose sur le fond de sable.
Pour cela, il fallait se rendre
près des îles rocheuses, comme
le Leon Dormido, visible ici au loin...
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... et ici de plus près
: nous y sommes allés pour plonger, et
c'est là que nous avons pu voir beaucoup
d'animaux marins, poissons de toutes sortes,
otaries, et requins.
Voir les photos et le film à
la rubrique "la
faune terrestre et marine"
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Cependant, les plages sont assez
rares, et la côte est le plus souvent abrupte
et constituée de rochers noirs.
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Eh oui, les Galápagos, comme les îles
Hawaï, sont d'origine volcanique, ceci
expliquant cela.
Quand il fait beau, ça peut avoir l'air
relativement riant.
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Mais quand le temps est gris et
la côte battue par le vent, ça l'est
beaucoup moins.
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Certaines plages ont un sable plus jaune, comme
celle-ci, à l'est de Punta Cormorant,
au nord de l'île de Floreana, où
l'on voit très bien les traces laissées
par une tortue la nuit précédente.
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Le sable peut même tirer
sur le brun, ou même le vert, lorsqu'il
contient une proportion notable de cristaux d'olivine.
Ici, la plage située à
l'ouest de Punta Cormorant.
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Quand on s'enfonce vers l'intérieur,
ce que l'on ne peut faire qu'en de très
rares endroits délimités et balisés,
on peut tomber sur des lagunes d'eau plus ou
moins salée.
Toujours Punta Cormorant.
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Ceraines de ces plages sont petites
et inaccessibles autrement que par la mer :
ce doit être fabuleux de pouvoir y venir
à la belle saison !
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D'autres sont plus vastes, comme ici celle
de "Post Office", toujours dans le
nord de l'île de Floreana, contemplée
depuis le point de vue aménagé
près de la balise météo.
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Point de vue depuis lequel, si
on se retourne vers l'intérieur des terres,
on voit le paysage typique de l'île :
végétation rabougrie, grands plateaux
désolés, avec quelques reliefs sur
l'horizon !
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