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Autres images des Galápagos

 

Alors, ces fameuses îles Galápagos ! Avant d'envisager d'y aller, j'en avais une image à la fois vague ét précise : je pensais à un chapelet de petites îles assez plates et assez sauvages, écrasées sous le soleil, inhabitées, sauf par quelques gardes, et sur lesquelles on pouvait si on avait de la chance (et sans débarquer) voir quelques animaux improbables, tortues et iguanes...

Que nenni ! Lorsqu'est venue l'idée d'y aller et que j'ai commencé à me reseigner, j'ai découvert une toute autre réalité : les îles sont grandes, avec parfois un fort relief, assez désolées effectivement, et... habitées ! Certes plus de 95 % de la superficie est une réserve naturelle interdite, sauf quelques points d'intérêt touristique à l'accès très règlementé, mais sur la superficie restante, il y a des habitants : près de 20 000 actuellement sur San Cristobal et Santa Cruz, avec deux aéroports, etc.

Quelques images insolites ou surprenantes de ces îles :

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Le ton est donné dès le départ : à l'aéroport de Quito, avant de partir pour les Galápagos, il faut se faire délivrer au guichet ad-hoc une sorte de permis d'accès aux îles... Une heure d'attente et 10 $

A l'arrivée à l'aéroport de San Cristobal, deuxième queue, et cette fois, on se fait délivrer un permis d'accès au parc National...

30 minutes d'attente (c'est plus court !) mais la somme rondelette de 100 $ nous est ponctionnée au passage. En espèces uniquement !

Mais c'est pour la bonne cause, et au point où on en est, on n'est pas à ça près : de toute façon, tout est hors de prix sur les îles, ce qui semble assez compréhensible, et qui constitue, il faut bien le reconnaître, un moyen assez facile (et tentant !) de limiter l'accès au parc National

Sur l'île de Floreana, un point intéressant : Post Office.

On y trouve une petite balise météo, on y jouit d'une belle vue, et surtout, comme le nom l'indique, il y a la poste ! Un peu spéciale, tout de même :

Dans le passé, les boucaniers et autres marins de passage déposaient dans une boîte leur courrier, et y prélevaient les lettres adressées à un correspondant proche de chez eux, à qui ils les remettaient à l'issue de leur voyage.

Aujourd'hui, les touristes sacrifient à cette tradition. Comme il se doit donc, nous avons prélevé dans le lot une lettre à destination de la France, que nous avons postée à notre retour.

Et nous avons déposé une carte postale adressée... à nous-mêmes.

 

Laquelle carte postale est arrivée chez nous un peu plus d'un mois plus tard !

Pour repartir des Galápagos, nous sommes passés par Baltra, le deuxième aéroport (voir "Impressions aéronautiques"), situé sur une petite île (Seymour) séparée de Santa Cruz par un petit bras de mer...

Le bateau aussurant la navette est assez folklorique (et très lent : un misérable petit moteur hors-bord pour une sorte de péniche métallique !), mais avec un compartiment à bagages (si on peut dire) vaste et accessible.

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