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Dans notre série "les villes
", commençons par la plus grande, et également
celle de notre premier contact à l'arrivée
: Bogotá.
Nous n'y sommes restés que très
peu de temps (un jour, deux nuits), et je me garderai
bien de prétendre la connaître. Nous n'avons
arpenté que le centre historique (quartier appelé
"La Candelaria") et ses alentours immédiats.
C'est aujourd'hui un quartier étudiant et légèrement
bobo-isé, qui présente pas mal de charme,
mais qui à l'évidence ne reflète
pas l'atmosphère ni la réalité
de cette grande ville.
Tant pis, partons pour un petit tour dans
ce Bogotá-là !
cliquez sur les images
pour les agrandir
Dans la rue, beaucoup de petits
marchands vendant des bonbons, chips, cigarettes
à la pièce...
Presque tous proposent également
des "minutos" : en clair des minutes
de téléphone. Vous avez un coup
de téléphone à donner,
vous demandez, on vous prête un portable
le temps de la conversation, et vous payez entre
150 et 250 pesos (ça dépend des
quartiers) par minute de conversation.
Ca remplace les cabines (inexistantes)
pour les gens qui n'ont pas de portable, ou
s'il ne marche pas, ou dont le forfait est épuisé...
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Le Transmilenio.
Il s'agit d'un réseau de bus en site
propre ayant permis d'améliorer sensiblement
les transports à Bogotá, sans
pour autant mettre en oeuvre un métro.
C'est sans doute positif, mais
évidemment, il se murmure que ce chantier
a été l'occasion de grosses magouilles,
corruption, etc.
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La Plaza de Bolívar, au centre de Bogotá, une
vaste place et un lieu de promenade très
central dans le quartier de la Candelaria.
Plusieurs monuments sur la place, dont ci-dessous
la Catedral Primada de Colombia, ou plus
simplement Catedral Basílica Metropolitana
de la Inmaculada Concepción (tout
un programme !)
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Sur la place se tenait ce jour-là
une manifestion de gens en bleu appartement au
mouvement MIRA (Movimiento
Independiente de Renovación Absoluta)
qui d'après ce que j'ai compris semble
un mouvement que l'on décrit comme indépendant
écolo-progressiste-religieux de droite
(bon, oui, je sais... :o).
La présence policière
était plutôt discrète, sinon
inexistante.
Il faut dire qu'il n'y avait qu'une
poignée de manifestants, et assez calmes.
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La rue longeant le palais présidentiel,
jouxtant la place Bolívar.
Elle est interdite aux véhicules,
mais pas de problème pour l'emprunter
à pied.
Et évidemment, toujours
les "minutos".
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Bogotá a été
construite dans une cuvette et certains quartiers
escaladent la pente, ce qui est le cas de la
Candelaria.
Ici, la rue de notre hôtel
: nous étions plutôt vers le haut,
et ça descendait quand on en partait
le matin...
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Du coup, pour revenir le soir,
il fallait grimper.
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Le Cerro de Monserrate domine la
ville : il se trouve à 3200 mètres.
Pour y monter, un téléphérique
et un funiculaire : impressionnant !
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C'est parti, on prend le funiculaire !.
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Monserrate est un but de promenade
apprécié des habitants de Bogotá,
surtout le dimanche.
Le jour où nous y étions,
il ne faisait pas très beau et il y avait
du vent.
Du coup, assez peu de monde...
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Mais l'atmosphère était suffisament
dégagée pour avoir une belle vue
sur la ville.
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Au loin, on peut voir l'aéroport,
pas mal enserré dans le tissu urbain, et
de ce fait pas trop loin du centre-ville.
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La vue est belle sur la Candelaria : on distingue
en haut l'église Nuestra Señora
del Carmen, et au premier plan les maisons
basses des vieux quartiers.
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Sur cette vue, peut voir la place
Bolívar, la cathédrale et quelques immeubles
de la Candelaria.
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Pour redescendre, nous avons emprunté
le téléphérique au lieu
du funiculaire.
En fait, c'est amusant, le funiculaire fonctionne
le matin, et le téléphérique
l'après-midi !
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