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Pas mal de route pendant ce voyage. 2
gros morceaux : En Colombie, Bogotá-Bucaramanga, et
en Equateur : Quito-Cuenca.
Dans les deux cas, en voiture avec chauffeur.
Honnêtement, le chauffeur était loin d'être
indispensable, la circulation étant relativement
facile (sauf dans Bogotá ou Quito), et je m'en
veux un peu d'avoir cédé aux arguments
de l'agence qui m'avait assuré que la voiture
sans chauffeur était fortement déconseillée
dans ces pays, et que d'ailleurs ça ne se faisait
pas.
Bien sûr, en arrivant, nous avons
vu à l'aéroport les classiques comptoirs
de loueurs, Hertz, etc... ce qui relativise le propos.
Bon, il y a quand même quelques
avantages : nos chauffeurs/guides étaient sympas,
tant Mathias en Colombie que Klever en Equateur, et
ils nous ont sans doute permis de voir des choses que
nous n'aurions pas trouvées sans eux !
cliquez sur les images
pour les agrandir
En Colombie, on tombe de temps
en temps sur des péages lorsque l'on
circule sur les routes principales : en gros,
des barrières d'octroi !
C'est peut-être le prix
à payer pour disposer de routes correctes...
mais reconnaissons-le, elle le sont.
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Sur la route, nous avons à
un moment croisé un gros mouvement de
foule : plein de gens se rendaient à
pied à une fête religieuse.
Nous avons eu de la chance : il
parait qu'une heure plus tard, nous aurions
été bloqués une bonne partie
de la journée !
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En Colombie, à l'arrière
de tous les camions, un numéro de téléphone
pour dénoncer une conduite que l'on jugerait
dangereuse.
Il semble que pas grand monde
n'y ait recours.
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Il faut dire qu'il y a beaucoup
de camions : l'essentiel du transport se fait
par la route, tant en Colombie qu'en Equateur.
Dans l'ensemble, les camions, s'ils
sont énormes, circulent assez prudemment :
on en voit notamment se traîner dans les
longues descentes pour ne pas surchauffer leurs
freins.
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Et ils sont vraiment énormes
: poids maxi sur le pont, 48 tonnes.
Ce qui veut dire qu'il peut y en
avoir de plus gros sur les routes !
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Je vous rassure : ce camion n'était pas
en train de doubler la moto en venant face à
nous !
Il était simplement en remorque :o)
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Notre voiture en Equateur : ça
ressemble à une Toyota Hi-Ace, ça
en a la couleur, et même à l'arrière
le logo Toyota (bizarrement, peint et non collé...).
Et puis à l'intérieur,
on trouve le moteur singulièrement bruyant
et pour tous dire assez asthmatique. Certes,
l'altitude y est sans doute pour beaucoup, mais
c'est étrange car Toyota a plutôt
une bonne réputation pour les moteurs...
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De face, tout s'explique :
il s'agit d'un clone chinois de Toyota,
comme l'indique l'écusson sur la
calandre.
Quelques recherches sur Internet
pour découvrir qu'il s'agit d'une
Brilliance
Jimbei Grand Haise.
Bref, une interprétation
assez libre de la notion de propriété
industrielle :o) !
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En tout état de cause, le
carburant n'est pas cher en Equateur (ni en Colombie
d'ailleurs) : en gros 2$ pour le super, 1,5$ pour
l'ordinaire, et 1$ pour le gazole...
De prime abord, ça ne parait
pas spécialement bon marché, mais
... c'est le tarif pour un gallon US (3,8 litres),
pas pour un litre !
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La route Panaméricaine, ici
au sud de Quito : c'est une belle route, qui comme
on le sait traverse toute l'Amérique du
nord au sud (sauf une interruption à la
frontière Panama-Colombie).
Elle est parfois autoroutière, parfois
non (et même souvent à deux voies
seulement), mais généralement toujours
en bon état.
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Quand on quitte la Panaméricaine,
les autres routes principales sont également
très correctes, mais les conditions atmosphériques
sont quelquefois difficiles.
Ici, nuages et pluie, mais nous
étions à ce moment près
du sommet d'un col à 4000 mètres
d'altitude, entre Latacunga et Zumbahua.

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