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Nous avons beaucoup pris l'avion au cours de ce
voyage. Difficile de faire autrement, vu les distances
entre les différents lieux visités.
5 étapes détaillées dans
le tableau ci-contre.
Dans l'ensemble, les vols se
sont déroulés sans problème,
toutes les compagnies enpruntées se montrant
tout-à-fait à la hauteur..
A part les avions et les aéroports
que nous avons fréquentés, peu de
points d'intérêt aéronautiques
: un musée à Buenos Aires que nous
n'avons pas visité, l'aéro-club
d'Ushuaia que je n'ai pas non plus été
voir, et l'aéroport de Puerto Natales que
nous regrettons de ne pas avoir utilisé.
Il aurait fallu pour cela un
peu plus de temps !
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Pau - Paris
: AF 7535
Paris - Buenos Aires : AF228
Buenos Aires -
Puerto Iguazu : AR2744
Puerto Iguazu
- Cordoba : AR2707
Cordoba - Ushuaia : AR2860
Punta Arenas -
Santiago : LA98
Santiago - Paris
: AF401
Paris - Pau : AF7534
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cliquez sur les images
pour les agrandir
Départ de Pau en fin de
matinée pour Paris-CDG.
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Décollage piste 31 à
Pau... On a l'habitude !.
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Arrivée à Paris, transfert rapide
du terminal 2G au 2E, puis plus de 6 heures
d'attente.
Heureusement, le salon Flying Blue, assez vide
à cette heure-là, nous accueille
confortablement...
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... avec les habituelles bonnes choses à
manger et à boire, ce qui aide à
passer le temps.
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Là, ce n'est plus la même
musique ! En classe éco, la place est
calculée au plus juste.
Néanmoins, j'avais pu
avoir les sièges situés au premier
rang de la cabine, ainsi nous n'étions
que deux côte à côte, ce
qui permet de se lever sans déranger
personne..
En outre, il n'y avait personne
devant nous, ce qui était très
appréciable, d'autant que j'ai toujours
la malchance de tomber derrière le seul
type qui incline son siège à fond
dès après le décollage
!
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Arrivée à Buenos Aires
(aéroport
international Ministro-Pistarini d'Ezeiza),
après un voyage sans problème d'un
peu plus de 13 heures.
Je voulais évoquer le plateau-repas,
mais par compassion, j'ai finalement décidé
de n'en rien faire...
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Dès le débarquement,
on se rend compte que l'on n'est plus en hiver
!
31°C dehors, un peu moins
dans l'aérogare climatisée. Une
très longue attente au contrôle
de police, et nous y voilà !
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Buenos
Aires - Puerto Iguazu
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Pour ce vol intérieur, nous sommes partis
de l'Aeroparque
Jorge Newbery, qui présente
l'avantage d'être proche du centre ville
(15 minurtes en voiture si la circulation est
fluide), au bord du Rio de la Plata.
Il y a près de l'aéroport un musée
aéronautique, mais que nous n'avons pas
eu le temps de visiter.
Un peu de retard au départ, mais rien
de bien méchant..
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... Et c'est parti : embarquement par un escalier
sur l'Embraer 190 LV-CPK de la compagnie Austral,
filiale régionale de Aerolineas Argentinas.
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Décollage avec vue sur la
ville.
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Après un peu plus de deux heures de
vol, descente au-dessus de la forêt amazonienne
vers Puerto Iguazu.
L'aéroport est perdu en plein milieu
de la forêt
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L'aéroport Cataratas
del Iguazu est situé au sud
de la ville.
C'est un aéroport international,
mais il y a en réalité peu de vols
internationaux, principalement vers Madrid en
Espagne et Asunción au Paraguay.
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Notre avion est arrivé à la passerelle.
Au fond, la forêt.
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Et rapidement, bagages récupérés,
nous sortons de l'aéroport. Celui-ci est
quasiment neuf, de gros travaux ayant été
réalisés récemment.
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Après les chutes, direction Ushuaia.
Pas de vol direct, mais une correspondance,
non pas à Buenos Aires, mais à
Cordoba.
Attente dans la salle d'embarquement de Puerto
Iguazu.
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Notre avion arrive à la
porte : encore un Embraer 190 de la compagnie
Austral , LV-CHS cette fois.
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On pénètre et remonte la piste
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Décollage piste 13, puis
virage à droite, direction Cordoba, où
l'on arrivera presque deux heures plus tard, pour
une correspondance d'environ 1h30.
Sur cette image, on se rend bien
compte que l'aéroport est perdu en pleine
forêt !
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A Cordoba, encore dans un Embraer 190 (LV-CKZ),
après un départ initial à
l'heure, un long arrêt sur le taxiway,
puis le commandant signale qu'en raison d'une
anomalie, il doit retourner au parking pour
une intervention technique.
On reste dans l'avion, et une fois l'intervention
réalisée, le commandant annonce
que vu le roulage et l'attente, il doit reprendre
du carburant.
Le camion est venu juste de mon côté
et j'ai pu suivre l'opération. Curieusement,
la quantité avitaillée est très
faible : ici, en fin de remplissage, on distingue
le volume : 70 litres, presque rien pour un
avion de cette taille.
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J'avoue que je n'ai pas bien compris...
Et à moins que je n'aie mal lu, j'en ai
déduit que sur le trajet Cordoba-Ushuaia,
d'environ 4 heures, l'autonomie de l'Embraer 190
est limite, et que le moindre retard impose de
refaire un plein complet, d'autant que le terrain
de dégagement d'Ushuaia, en cas d'impossibilité
d'atterrir, est assez lointain.
Bref, cela fait, on a décollé
de Cordoba, en route pour le sud.
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Arrivée vers Ushuaia : on distingue
des sommets enneigés, et de vastes étendues
d'eau.
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Lors de notre arrivée à Ushuaia,
il y avait un fort vent du nord.
Notre avion a fait un circuit d'arrivée
par le sud, relativement loin du relief, avant
de s'aligner en finale vers l'ouest...
Durant toute l'approche, ça secouait assez
sérieusement, et entre les passagers silencieux
et blêmes, et ceux qui poussaient des cris
à chaque turbulence un peu forte, l'ambiance
etait assurée !
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Après l'atterrisage, par un bon vent
de travers, on a senti un certain soulagement,
ponctué de quelques applaudissements.
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A Ushuaia, j'ai constaté
avec intérêt la présence d'un
aéro-club, qui de nos jours n'utilise normalement
pas la piste principale 07/25, mais la piste 16/34,
l'ancienne piste de l'aéroport.
Je n'ai pas pris le temps d'aller
lui faire une petite visite, ce qui est dommage....
Mais si le vent est toujours ce que nous avons
connu à l'arrivée, ce doit être
sportif de voler par ici.
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A partir de ce moment, notre périple
a été martitime d'Ushuaia à
Punta Arenas, puis routier de Punta Arenas à
Puerto Natales. Après la visite du parc
Torres del Paine, ça aurait été
sympa de repartir directement vers Santiago
depuis Puerto Natales, où un aéroport
assez moderne aurait la possibilité de
recevoir des vols commerciaux, malgré
une piste un peu courte.
Malheureusement, il n'y a pas de vols réguliers
depuis cet aéroport en ce moment, et
nous avons dû pour la suite de notre voyage
refaire les 250 km de route vers Punta Arenas.
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Au contrôle de sécurité,
le contenu du bac d'objets refusés
est assez loufoque : on se demande
parfois ce que les gens ont en tête
pour se présenter à l'embarquement
avec ce genre de choses..
Cela dit, pour le paquet
de cuillers vertes, je ne vois pas trop
où est le problème... Peut-être
y a-t-il des fourchettes avec !
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Dernier vol local avant le retour, Punta-Arenas
- Santiago : sur le panneau, vol LA98, à
l'enregistrement.
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Arrivée de notre avion, un Airbus A321
quasiment neuf (CC-BEG), avec winglets et tout...
The Jacky touch !
Temps de rotation assez court, à peine
une heure ! Embarquement rapide malgré
le vol complet...
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...et décollage dans la
foulée, piste 25. Dernier aperçu
de la Patagonie !
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L'aéroport de Punta Arenas, à la
fois civil et militaire, dispose de 3 pistes en
triangle.
Après un départ vers l'ouest, virage
à droite vers le nord, directement vers
Santiago.
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L'avion était archi-complet, pour un
vol d'environ 3h30.
Plateaux-repas payants...du low-cost, quoi,
mais vol sans problème.
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A l'arrivée à Santiago depuis le
sud, un passage à la verticale du terrain
avant un circuit par le nord..
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...évitant de survoler
les montagnes avoisinantes...
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...et un atterrissage piste 17L, pour nos deux
derniers jours de vacances au Chili.
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Arrivée à l'aéroport
de Santiago longtemps à l'avance,
après une matinée passée
à notre hôtel. Enregistrement
rapide, puis passage de la police et
des contrôles de sécurité...
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Décollage en piste 17 R, pour
un départ vers le sud et un virage
à droite afin de monter au maximum
avant de partir vers le nord-ouest et
survoler les Andes, où il y a
souvent des turbulences.
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.. avant
de gagner le salon Flying blue, et grignoter une
bricole, arrosée d'un excellent vin chilien
: il fallait en profiter, avant de goûter
aux tristes plateaux-repas de classe éco... |
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En vol au niveau 330 au dessus de l'Amazonie..
580 kt (1074 km/h) ! Y'avait un peu de vent dans
le dos..
J'ai passé beaucoup de temps à
suivre la route sur mon écran : impossible
de dormir pendant les presque 14 heures de vol,
et difficile et se lever car cette fois, je n'avais
pas réussi à avoir les places du
premier rang, et un type était assis à
côté de nous vers le couloir, ce
qui ne facilitait pas les promenades.
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Notre B777 arrivé à l'aéroport
de Roissy-Charles de Gaulle.
Atterrissage réalisé par visibilité
nulle : depuis ma place à la fenêtre,
je ne distinguais même pas le réacteur
! Pas de photo, de toute façon, on n'aurait
rien vu !
Mais ce genre de choses n'impressionne personne...
A vrai dire, je pense que dans l'avion, pas
grand monde ne s'en est rendu compte.
Merci la technique !
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Le
brouillard s'était un peu levé, et
nous avons pris la navette en zone aéroportuaire
pour rejoindre le terminal 2G et notre vol pour
Pau : notre arrivée était à
l'heure, mais malgré tout nous n'avions pas
beaucoup de marge, juste le temps de se servir un
brunch au salon Flying Blue. |
Le tarmac du terminal 2G : moins de brouillard,
et par la suite, un départ sans problème
vers Pau.
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cliquez sur les images pour
les agrandir
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