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Dans une rue de Buenos
Aires, on peut voir de splendides canapés,
sur lesquels on aurait envie de se jeter.
J'ai bien fait de les tâter
avant : c'est du ciment bien dur, et ça
m'a fait penser au fauteuil gant de boxe
de Gaston Lagaffe ! (à lire dans
le numéro 10 "Le géant
de la gaffe"):
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En nous promenant à Buenos-Aires,
dans les quartiers Retiro et Recoleta,
nous sommes tombés à plusieurs reprises
sur des gens promenant plusieurs chiens....
La première fois, nous nous
sommes dits : "tiens, en voilà un
qui beaucoup de chiens, c'est qand même
curieux, en ville"
Après en avoir vu plusieurs,
nous pensons qu'il s'agit plutôt de personnes
travaillant comme promeneurs de chiens...
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Une petite curiosité de
Buenos Aires indiquée par le chauffeur
nous amenant de l'aéroport : El Ateneo,
une libraire installée depuis l'an 2000
dans un ancien théâtre.
Superbe !
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Une image de Puerto Iguazu : les sacs
poubelles sont placés dans des paniers
métalliques en hauteur, sans doute pour
éviter d'être déchirés
par les chiens errants.
Cette astuce n'empêcherait pas les chats
de les déchirer, mais on n'a pas vu un
seul chat à Puerto Iguazu...
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Lors de la visites des chutes d'Iguazu, on
s'installe à une table pour boire et
manger quelques empanadas achetées sur
place
On n'est pas étonnés de voir
arriver un coati, pas apeuré du tout,
qui d'ailleurs s'est précipité
sur la table et m'a piqué une empanada
au fromage.
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Sur une plage de galets de Terre de Feu, un couple
d'ouettes marines (Chloephaga hybrida)
avec 5 poussins. Le mâle est blanc, la femelle
brun sombre, et les poussins... gris
Les ouettes marines vivent sur les plages de
galets et se nourrissent d'algues
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Le tonneau du courrier inspiré
de l'ancien système postal utilisé
par les marins, et
déjà vu aux îles Galapagos
: chaque personne de passage peut déposer
dans le tonneau une carte postale, et en contrepartie
en prélève une précédemment
déposée, si possible adressée
à un correspondant proche de chez elle,
à qui elle la remettra à l'issue
son voyage.
Nous avons prélevé
une carte dans le tonneau, que nous avons postée
par la suite, et en avons déposé
une... adressée à nous-même.
Nous l'avons d'ailleurs reçue
peu après
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Sur les Nothofagus de la
forêt de Patagonie, on note la présence
de champignons en forme de petites boules oranges,
appelés localement "Pan de los
Indios".
Il s'agit de Cyttaria darwinii.
Ces champignons sont comestibles et représentent
une source importante de diverses vitamines, c'est
pourquoi ils étaient largement consommés
par les indiens Yagans.
Pour ma part, j'ai goûté,
ce n'est pas particulièrement bon... en
fait ça n'a pas de goût.
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Une cascade de la fonte de glacier : elle est
toujours présente (comme sur beaucoup
de glaciers) mais il paraît que d'une
année à l'autre, elle peut se
déplacer, être à gauche
ou au milieu...
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Sur l'île Magdalena, les
goélands fabriquent un nid sommaire à
même le sol (parfois au milieu du chemin,
ce qui n'est pas très malin...), et y restent
pour couver.
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Un monument amusant à
l'entrée de Puerto Natales, la Mano
Très peu d'informations
sur cette sculpture sur place : elle serait
l'oeuvre du sculpteur chilien Mario Irarrazabal,
qui en a apparemment réalisé une
ou deux autre du même type .
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A Punta Arenas, un
vendeur de souvenirs propose des minéraux
et des petites tours Eiffel ! |
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Première promenade
du matin dans le parc Torres del Paine,
depuis la Guarderia Grey : la isla
de los Hielos.
Le chemin commence par
un petit pont suspendu
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A Santiago, en remontant l'avenida
Libertador O'Higgins , nous sommes tombés
sur des véhicules anti-manifestations garés
sous les arbres, couverts de taches de peinture
: on ne sait pas s'il s'agit d'une couleur de
camouflage, ou plus probablement des traces d'affrontements.
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Toujours à Santiago, en prenant le petit-déjeuner,
une surprise à la télévision :
un sujet sur la France, avec la une de Libé
en plein écran, sur les préparatifs
de la journée du 5 décembre !
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Vol Santiago-Paris : 580 kt au compteur (1074
km/h) !
Y'avait un peu de vent dans le dos.
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cliquez sur les images pour
les agrandir
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