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Le cap Horn

 

Le cap Horn était la première étape de la croisière (point 2 (1) de l'itinéraire) . C'était aussi la plus incertaine : en effet, les conditions météorologiques sont souvent très mauvaises, et s'il est toujours possible de s'en approcher, le débarquement n'est pas garanti. Il se trouve que cette fois, le temps était très beau, et que nous avons pu nous rendre sur l'île Horn, la isla de los Hornos.

Cerise sur le gâteau, nous avons même pu après le débarquement sur l'îte doubler le cap Horn par le sud, ce qui est encore moins garanti : d'après l'équipage, c'était seulement la deuxième fois de la saison que cet itinéraire a pu être emprunté par le bateau.

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Débarquement sur la isla de los Hornos au petit matin. Un autre bateau débarquait aussi des touristes (en gilets bleus, et nous en gilets oranges)...

Entrée du parc national . Il faut rester sur les chemins donnant accès au monument ainsi qu'au phare.

Montée vers le monument du cap Horn...
 
  ...depuis lequel on a une très belle vue sur le cap Horn proprment dit.

Depuis le monument, une vue vers le sud : à 800 km en face, le continent Antarctique !

Le phare du cap Horn.

Un gardien y habite avec sa famille : il a de la viste lorsque le temps est beau, en été, et que les touristes débarquent. Le reste du temps, il doit s'ennuyer un peu.

A côté du plare, une petite chapelle, la Capilla Stella Maris.

Il est temps de rembarquer.

Au retour vers le bateau, en longeant des rochers, on peut voir des phoques (des lions de mer en fait ) bronzer au soleil.

 

 

 

Nous avons eu la chance de pouvoir doubler le cap Horn... Bien sûr, ce n'était pas dans les conditions des cap-horniers d'autrefois, qui pendant des jours, voire des semaines, luttaient contre les éléments, dans le froid, la pluie ou la neige, juchés dans la mâture de leurs bateaux...

 

On nous a tout de même donné un diplôme...

Facilement gagné.

 

 

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